mardi 29 décembre 2009

technologie.







J'ai découvert une nouvelle fonctionnalité sur mon scan (il était temps, après 7 ans d'utilisation.....). Mes scans n'ont plus ce voile grisatre et sont plus proches de la version originale...c'est magique !
du coup, je remet les dernières versions;

vendredi 25 décembre 2009

tribute to SW



A l'occasion d'un cadeau de noel, et un peu dans l'urgence (grosso modo, quatre heures avant "l'offrande"....), un clin d'oeil à l'univers starwars.

mercredi 16 décembre 2009

Et ma main sur ta gueule!!!!!!



la suite des crayonnés....

En voila un qui vient de comprendre qu'il ne vaut mieux pas courir sur le haricot d'Hannibal....

vendredi 4 décembre 2009



AAAAAAAAAAAh...;la bd...
il y a des jours, ou ce mot me passe par les trous de nez.....ou tout ce qu'il implique m'insupporte.
Il y a des jours ou je me dis, oula ! mais je vais tous les envoyer péter et reprendre un petit boulot tout chaud dans l'animation....

parce que la bd, c'est pas juste faire de zoli dessin et puis c'est tout...
non, c'est aussi , se trimballer de l'humain, avec tout ce que cela sous entend comme truanderie, hypocrisie, calcul, et autres forfanteries !!!!

c'est étrange, mais ca se révèle souvent dans les périodes de négociations contractuelles, ces petits errements ...
parce que entre, ca roule sur du velour...tant qu'on ne l'ouvre pas trop, que l'on s'autogère, que l'on provoque un minimum de remous, c'est Byzance..l'éditeur vous félicite, vous caline, vous dit même bonjour (à ce moment là, moi, je regarde si il n'y a pas un piano qui va s'écraser gaillardement sur mon nez grec....).

mais alors des que l'on parle sousous,et autres précisions contractuelles , ca crispe sévère !!!!

et en ce moment, je suis en plein dans la "darkside of the moon".Comme une grosse envie de distribuer des baffes...il ne faudrait pas trop pousser Mimile pour qu'il reprenne ses petites habitudes du temps du SCALP et des zolies bastons avec les fafs.


Parce que , cher vous, l'auteur de bd a tendance à se transformer en bétail, voire en stock...l'éditeur ne gère plus un ouvrage, mais gère un flux, du stock, du produit de consommation que l'on doit drainer vers les linéaires...et on a jamais vu, monsieur, une pomme de terre réclamer plus de considération, vindiou.
Le statut des auteurs, c'est un torche cul pour les éditeurs, le contexte économique des auteurs ne cesse de se dégrader, tandis que les éditeurs affichent une santé des plus insolentes.....et je ne caricature pas..mais cette bonne santé économique de nos chers amis, elle se base non plus sur un ou deux blockbusters, mais sur une myriade de petites et moyennes séries, dont les frais de production sont minorés (avance ridicule, placement microscopique, forfait auprès des imprimeurs et des distributeurs,absence de marketting...)...

Alors que l'on me disait pis que pendre de soleil, c'est avec Jean-Luc que j'ai connu un véritable travail éditorial, avec du suivis, et une parution réellement prise au sérieux.Il prend le temps, même si cela lui demande beaucoup; les directeurs éditoriaux, bien souvent coincé parce que avec 30 ou 50 projets à suivre, ne peuvent le faire, souvent à leur grand dépit(Eux aussi apprécierait d'être autre chose que des gestionnaires de caddy....).

Pour étayer votre réflexion, je vous incite à lire la pertinente intervention de Jacques Terpant sur Actubd...
c'est édifiant..

Ce texte, et la "provocation " de Fillippi, ont accéléré mon processus d'adhésion au SNAC...j'avais ajourner, sans réelle explication si ce n'est une coupable passivité, cette affiliation.
moi qui m'était jurer de ne plus replonger dans les affres syndicaux(après un très long sacerdoce dans ce registre sous d'autres horizons...).....


grrr


enfin, sinon, et heureusement, il y a Hannibal.bon, là, c'est des versions non définitives..des corrections ont été apporté.

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